(...) Hélas! de la nuit désireuse,
J'ai beau tirer le câble à sonner l'Idéal,
De froids péchés s'ébat un plumage féal,
Et la voix ne me vient que par bribes et creuse !
Mais, un jour, fatigué d'avoir en vain tiré,
O Satan, j'ôterai la pierre et me pendrai.
Le sonneur. Stephane Mallarmé
10 juillet 2007
Araignée, le soir.
Publié par
tece62
à
17:06:00
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